Réponses aux affirmations erronées de Jean-Jacques Darves parues dans les actualités de son blog et au tract à destination des riverains de la Pierre Lais

Publié le par Danielle Verchère

Réponses aux affirmations erronées de Jean-Jacques Darves parues dans les actualités de son blog et au tract à destination des riverains de la Pierre Lais

Quelques réponses aux remarques de JJ Darves sur son blog (nous le publions car JJD bloque pour le moment notre réponse) :

Réunion du village et du centre ville : c'est tout à fait possible et l'hôpital y trouverait plusieurs intérêts : rénovation de leurs installations de chauffage vétustes dans le cadre d'un projet commun, retour financier conséquent de la vente d'une bande de foncier de 25m le long de la rue du 8 mai leur permettant de financer leur propres investissements, rénovation dans le cadre de ce projet de l'école d'infirmières actuellement installée dans un bâtiment non isolé ni ravalé, apport de petits logements pour les infirmières actuellement sans solution de proximité... C'est un projet gagnant gagnant très faisable encore fallait-il en discuter et l'étudier dans toutes ses composantes avec la direction de l’hôpital. Des contacts sont déjà pris.

Préservation on du Champ Garni : rien d'illusoire et de contradictoire avec le projet du Grand Paris qui ne concerne pas ce secteur. Les logements peuvent être construits ailleurs (voir plus haut). Le terrain de 9 hectares n'est pas en friche mais constitué de terres agricoles exploitées et de jardins familiaux très prisés par les habitants. L'Agence Régionale des Espaces Verts trouve excellente la solution d'étendre son périmètre d'intervention à ce terrain, situé dans la continuité du Bois du Plessis Saint-Antoine qui lui appartient déjà. Cette inscription au PRIF (Périmètre Régional d'Intervention Foncière) ne coûte rien ni à la commune ni à la Région mais est une protection juridique contre tout autre usage. Des contacts sont déjà pris.

Rappelons que nous avons pris cette position pour prendre en compte l'avis de la population exprimée lors des deux réunions publiques de 29 mai et du 4 juin 2013 où les riverains ont vivement critiqué le projet construction présenté par la mairie, ce qu'a refusé de faire Jean-Jacques Darves. Celui-ci s'obstine à vouloir construire sur un champ et à augmenter ainsi l'étalement urbain dans une zone située à plus de 2 km des groupes scolaires disponibles de la ville, ce qui impliquera la traversée deux fois par jour du quartier des Marnières, avec la pollution et les risques d'accidents. Enfin, construire sur ce champ constituerait une rupture écologique de la ceinture verte d'Ile de France qui va du Bois Saint Martin à la forêt de Notre Dame qu'il faudrait au contraire conforter. Une véritable hérésie urbaine et écologique à éviter, comme nous le proposons.

Parc d'activités Notre Dame : nous n'avons pas l'intention de le rejeter puisque c'est déjà parti mais de trouver des activités compatibles avec le maintien en pleine terre des surfaces de prairies et de terres agricoles : le second cimetière paysagé y trouverait logiquement sa place plutôt que dans un parc historique (Henri Rouart)comme le propose les listes de gauche et de droite. Le déficit de 2 M€ est celui du projet actuel avant même d'avoir commencé à implanter quoi que ce soit (révélé en réunion publique de mai 2013 par la communauté d' agglo).

Finances locales: tout le projet de Danielle Molinier-Verchere est conçu pour les alléger :

. logements : pas de création de nouvelle Zac déficitaire, mais vente de gré à gré par l'hopital à un promoteur sans intervention financière de la commune.

. protection des espaces verts : intervention de l'agence régionale des espaces verts qui les acquerra progressivement et pour son compte, sans intervention financière de la commune.

. équipements publics : recherche de partenariat avec l'hôpital et les communes avoisinantes

pour les salles de spectacles et les médiathèques déjà existantes, optimisant ainsi ces équipements et évitant d'endetter la commune inutilement.

. Services publics : travail en profondeur et conventionnement avec des associations pour démultiplier l'action de la commune et offrir beaucoup plus de services pour le même budget.

Faut-il en rajouter ?

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